Foire aux questions
F.A.Q « Rédaction »
À qui s'adresse Magnificat ?
Magnificat Junior et Magnifikid! s’adressent à des enfants de quel âge ?
Magnificat Junior et MagnifiKid! s’adressent à des enfants de 6 à 12 ans.
Quel est l’éditeur de Magnificat ?
Magnificat est une initiative laïque, le mensuel n’appartient à aucun ordre religieux, ni mouvement laïc. Il est édité et publié par Magnificat SAS.
Que veulent dire les sigles AELF, SNPLS et CFC ?
AELF : Association épiscopale liturgique pour les pays francophones. Les épiscopats d’Afrique du Nord, de Belgique, du Canada, de la France, du Luxembourg et de la Suisse se sont groupés, selon le souhait de Rome, pour préparer ensemble les livres liturgiques (Missel, lectionnaire, Rituel, Liturgie des Heures).
SNPLS : Service national de la Pastorale liturgique et Sacramentelle. Organe de travail auquel les évêques ont confié, sous leur autorité, la recherche liturgique, la traduction des textes, les éditions et la pastorale liturgique en France.
CFC : Commission cistercienne francophone. Groupe de recherche constitué de moines et de moniales et d’autres personnes travaillant pour la liturgie des monastères et au service de l’Église sur le plan des textes et de la musique.
Quelles sont les sources liturgiques ?
En savoir plus sur la nouvelle traduction du Missel romain
Depuis combien de temps Magnificat existe ?
Quelle différence y a-t-il entre la liturgie des Heures (Prière du temps présent) et les prières du matin et du soir proposées dans Magnificat ?
Pourquoi Magnificat utilise-t-il les hymnes de la liturgie des Heures ?
Indiquez-vous les prières universelles de la messe dans Magnificat ?
Magnificat et la prière personnelle.
Magnificat et la participation à l’eucharistie.
Que représentent les signes accompagnant les psaumes ?
« + », « * », « a » sont des indications pour le chant des psaumes.
« + » : indique la flexe, à la fin de la première ligne d’une strophe à trois vers.
« * » : indique la respiration entre deux vers.
« a » : signale l’avant-dernier posé rythmique du vers.
Pourquoi ne dit-on pas « Gloire au Père… » à la fin de certains cantiques du Nouveau Testament ?
Le « Gloire au Père… » ou « Rendons gloire au Père… » appelé une doxologie, est une brève formule de louange à Dieu. On la dit après tous les psaumes et les cantiques de l’Ancien Testament, mais non après ceux du Nouveau Testament (lettres des saints Paul et Pierre), car ils ont en eux-mêmes une forme doxologique développée.
Toutefois, les cantiques évangéliques de Zacharie, de Marie et de Syméon, tirés des premiers chapitres de saint Luc, comportent traditionnellement la doxologie : c’est le temps des annonces avant la manifestation de Jésus comme Fils de Dieu, dans l’unité de l’Esprit.
Pourquoi indiquez-vous la doxologie du Notre Père ?
À la messe, depuis 1970, la doxologie « Car c’est à toi qu’appartiennent… » ou l’équivalent « À toi le règne… » suivent la prière de « l’embolisme », c’est-à-dire le développement de la dernière demande. De même, à l’office, on peut conclure le Notre Père et la prière de l’Heure par cette acclamation remontant aux premiers siècles de l’Église.
Quel est le rôle de l’hymne ?
Texte contemporain, le poème ou l’hymne a un rôle propre : nous faire entrer dans un monde, dans un type de parole à Dieu et sur Dieu, où le chant dit plus que le récit, où le poème dit plus que la prose, où le mot dit plus que le mot.
Bien souvent, l’hymne emprunte son symbolisme aux images de l’Évangile. Feu, lumière, souffle, vent, porte, vigne, arbre, pain, etc., sont les images employées par le Christ pour nous manifester qui il est. À sa parole, ils deviennent de puissants et humbles symboles qui vont ouvrir des sens nouveaux.
Comme dans les psaumes, on parle à Dieu, mais aussi aux frères, à toute la création, on écoute un frère parler, on est entraîné à la louange par le peuple des baptisés.
Dans la célébration de groupe, elle pourra être lue par un seul lecteur ou, alternativement par plusieurs lecteurs mais jamais par tous les lecteurs ensemble. Enfin, le chant, si la musique est bonne, sera une excellente entrée dans la prière.
Les intercessions
Par le biais des intercessions, l’Église nous donne de manifester notre appartenance à un corps et d’être construit intérieurement comme membre de ce corps. À la fin de la prière, une série d’intercessions nous fait de nouveau prendre conscience que la liturgie des Heures est « la prière de toute l’Église, pour toute l’Église et même pour le salut du monde entier ».
Dans le même mouvement que le Notre Père, on loue Dieu, puis on le supplie pour le bien des hommes. Une introduction comme celle-ci : « Nous souvenant que le Christ eût pitié des foules, nous le prions », nous rappelle à qui nous parlons et pourquoi. Parce que Dieu est Dieu, qu’il nous a donné des preuves de son amour, nous le supplions dans la foi. L’actualité doit être présente : il faut en vivifier les allusions plus générales, nommer ceux dont on a la charge, les plus proches, mais aussi les plus lointains.
En liturgie, nul ne peut rester enfermé dans un cercle étroit, les textes sont là pour guider la prière et pour aviver l’espérance. « Demandez et vous recevrez. »
Le tropaire
Le tropaire est un texte dont la structure littéraire est héritée de la liturgie byzantine. Il est composée d’une grande antienne, la stance, d’un refrain suivi de plusieurs versets bibliques. Dans la célébration commune, la stance est dite ou chantée par un petit chœur ou la chorale, le refrain par la foule et les versets par un soliste.
Le tropaire peut remplacer l’hymne. Il peut servir de chant d’entrée à la messe. Certains monastères utilisent un tropaire aux fêtes solennelles comme répons après la lecture et antienne du cantique évangélique.
D’où vient l’hymne À toi, Dieu notre louange ?
C’est une hymne grecque qui pendant longtemps fut connue sous ses premiers mots latins Te Deum. On la chantait solennellement à l’occasion des grandes actions de grâce nationales. Actuellement, l’hymne clôt l’office des lectures de la liturgie des Heures, dimanches, fêtes et solennités, sauf en Carême.
Pourquoi ne fait-on pas davantage mention des saints ?
Lorsque la liturgie nous met en route pour la prière, elle commence souvent par : « Le Roi des Apôtres… des Martyrs… Venez, adorons-le… Le Roi de saint Bernard… notre Roi… » La sainteté n’appartient qu’à Dieu, et à son Fils Jésus, le Christ, « Toi seul es Saint ! Toi seul, Seigneur » chantons-nous parfois.
Dieu a fait don de sa sainteté à son peuple : Vous serez pour moi un Royaume de prêtres, une nation sainte (Ex 19, 6), et, plus tard, en la lettre de Pierre : Vous êtes la race choisie, le sacerdoce royal, la nation sainte, le peuple qui appartient à Dieu (1 P 2, 8).
C’est tous les jours la fête de Dieu, la fête pour Dieu.
Pourquoi la rubrique « Saint d’hier… » se trouve-t-elle après la prière du soir ?
Peut-on célébrer les saints durant le Carême ?
Aux féries de l’Avent (à partir du 17 décembre) et de Carême, les mémoires obligatoires deviennent facultatives. Ces jours-là, on dit la messe du jour occurrent, mais on peut prendre la prière d’ouverture de la mémoire. En revanche, les fêtes et les solennités seront célébrées les jours fixés par le calendrier liturgique.
Pourquoi ne citez-vous pas les lectures possibles pour les mémoires de certains saints ?
Pourquoi le psaume est-il parfois suivi d’une prière ?
Ces oraisons psalmiques sont faites à partir du texte et le relisent en fonction du Christ et de l’Église. On pourrait aussi les parcourir avant de lire les psaumes pour découvrir comment ils sont christianisés.
J’entends parfois proclamer à la messe des traductions différentes de Magnificat pour le psaume et parfois la lecture ?
Pourquoi les psaumes ne sont-ils pas dits en entier après la première lecture de la messe ?
Les psaumes 1, 22, 116, 130 et 150 sont toujours employés en entier. Dans tous les autres cas, on trouve des extraits. Ceux-ci sont étroitement liés à la lecture que l’on vient d’entendre, conviennent à une assemblée paroissiale peu préparée à la prière des psaumes et ont une longueur en harmonie avec la structure de la première partie de la messe.
Que faire des numéros de Magnificat une fois le mois écoulé ?
La meilleure solution consiste à les abandonner dans un lieu de passage ; sinon, rien ne s’oppose à ce que l’on jette les numéros périmés ou à ce qu’on les brûle.
Pourra-t-on utiliser les anciens numéros de Magnificat au fil des années ?
Non, pour la bonne raison que les lectures de la parole de Dieu s’étalent sur deux ans pour la semaine et sur trois ans pour les dimanches.
J'ai aimé la couverture du Magnificat du mois X, comment puis-je me procurer une reproduction de cette œuvre ?
F.A.Q « Abonnement »
Je n’ai pas encore reçu mon exemplaire, et le mois est déjà commencé, que faire ?
Que faire en cas de changement d’adresse temporaire ?
Vous avez la possibilité de demander un changement d’adresse temporaire aux conditions suivantes : ce changement concernera deux numéros minimum et la demande devra nous parvenir au moins cinq semaines avant le changement.
Comment puis-je faire connaître Magnificat ?
En France : fax : 02-99-55-87-88/magnificat-promo@magnificat.fr
SOTIAF / Magnificat – TSA 29021 – 35909 RENNES CEDEX 9Aux Etats-Unis : fax : 1-914-969-6446/complementary@magnificat.com
Magnificat – PO BOX 822 Yonkers, NY 10702 USAEn Espagne : fax : 00-34-91-677-46-08/magnificat-e@magnificat.com
EMD – Magnificat – Apartado 1033 – 28830 San Fernando de Henares – Madrid
J’ai offert un abonnement, qui recevra la relance ?
En France, c’est vous qui choisissez en remplissant le bon de commande.
Est-ce que je suis prévenu lorsqu’un abonnement vient à échéance ?
Oui, quelques mois avant la fin de votre abonnement vous recevrez un courrier à nous renvoyer au plus vite pour éviter toute interruption de celui-ci.
Comment les psaumes et les hymnes sont-ils répartis par rapport à l’office des monastères ?