Soyons saints avril
Saint Joseph-Benoît Cottolengo
L’accueil du plus pauvre
Joseph-Benoît Cottolengo (1786-1842) grandit à Bra, près de Turin. Très pieux, excellent orateur, il se tourne vers la vocation sacerdotale. Il est ordonné prêtre en 1811 et entre dans la congrégation des chanoines du Corpus Christi. Il poursuit des études de théologie tout en exerçant son apostolat en zone rurale. En 1827, il est appelé au chevet d’une femme malade qui, trop pauvre pour être admise à l’hôpital, meurt sous ses yeux. Cette rencontre tragique est à l’origine de la fondation de la petite maison de la Divine-Providence de Turin, destinée à l’accueil des malades, des pauvres et des abandonnés. L’immense confiance en Dieu de Joseph-Benoît a permis à son institut de rayonner dans le monde entier : « Les personnes peuvent nous faire faux-bond ; mais Dieu ne nous lâchera jamais, pas même une fois. »
Joseph-Benoît aimait se confier totalement à l’infinie bonté de Dieu pour devenir ainsi « le manœuvre de la Divine Providence » pour les plus vulnérables.
Temps de silence
À la grâce de l’Esprit Saint et à la prière de saint Joseph-Benoît Cottolengo, soyons soucieux de ceux que la maladie ou une situation de vie isolent.
Ce mois-ci, à l’écoute de sainte Bernadette Soubirous
Je ferai tout pour le Ciel. Là, je trouverai ma mère, dans tout l’éclat de sa gloire. Oui, elle est si belle que quand on l’a vue, il tarde de mourir pour la revoir encore.
